Avec Alain Bashung, l’émotion envahit Cimiez et le Nice Jazz Festival
On est envouté, bercé entre l'envie de fermer les yeux et d'oublier la maladie d'Alain Bashung et l'envie d'observer le courage et sa volonté de donner le meilleur de lui même. L'émotion grandit au fil des chansons. Il interprète son dernier album « Bleu Pétrole ». Les textes et les mots poussés par la voix d'Alain le magnifique pénètrent nos esprits et envahissent nos pensées. On s'en imprègne. Ces instants se gravent. L'instant se fige. Inoubliable.
Katia Goldmann sourit, danse, plaisante et chante et manipule plein d'instruments. La Niçoise se destinait à devenir avocate. Elle est devenue chanteuse. Et tout le public qui s'est massé devant la Scène Matisse s'en félicite. Katia a de l'energie à revendre. Ses chansons sont autobiographiques mais nous ressemble. On se les approprie. Et puis, la magie opère. On a envie nous aussi à notre tour de sourire, danser, plaisanter, chanter et manipuler plein d'instruments !
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